Nous sommes en code rouge. On pensait que cela se produirait entre 2030 et 2052, mais maintenant… cela devrait se produire avant 2040, autant dire du vivant de la grande majorité des personnes qui sont sur terre. Il est plus que probable que la Terre se réchauffe de 1,5°C au cours des 20 prochaines années, soit une décennie plus tôt que ce que les scientifiques avaient prévu il y a si peu de temps, de sorte que les vagues de chaleur, les inondations et les sécheresses deviendront plus fréquentes et plus intenses, comme le conclut un rapport des Nations Unies intitulé « code rouge pour l’humanité. Le plus grand rapport mondial sur le changement climatique affirme également qu’il est « sans équivoque que l’influence humaine a réchauffé l’atmosphère, les océans et les terres ».
Cela peut paraître totalement banal, mais en fait, pour de nombreux pays, cela rend la situation totalement incontrôlable car le climat sera trop chaud, et vous devez savoir que le monde va donc connaître des vagues migratoires absolument hors du commun. Sachez également que le monde va aussi se réchauffer chez nous et cela aura un fort impact sur les récoltes, donc l’effet boule de neige est catastrophique, sachez-le.
L’aggravation est garantie
Depuis 1970, les températures à la surface de la planète ont augmenté plus rapidement que sur toute autre période de 50 ans au cours des 2 000 dernières années, tandis que les cinq dernières années ont été les plus chaudes jamais enregistrées depuis 1850, c’est dire le niveau de chaleur actuel.
1,5°C est considéré comme le point où le changement climatique devient beaucoup plus dangereux. Ainsi, l’Accord de Paris de 2015 sur le changement climatique engageait les pays à limiter le réchauffement à 1,5°C, mais celui-ci a déjà augmenté de 1,2°C.
« Les sonnettes d’alarme sont assourdissantes et les preuves sont irréfutables : les émissions de gaz à effet de serre dues à la combustion de combustibles fossiles et à la déforestation étouffent notre planète et mettent des milliards de personnes en danger immédiat », a déclaré le secrétaire général de l’ONU, António Guterres.
Face à cette situation, on ne pourra pas exclure toutes ces conséquences : une élévation du niveau de la mer proche de 2 mètres d’ici la fin de ce siècle, ni que l’Arctique sera « pratiquement exempt de glace de mer » en septembre au moins une fois auparavant.
2050 ou que les vagues de chaleur « sont devenues plus fréquentes et plus intenses dans la plupart des régions terrestres ». L’élévation du niveau de la mer constituera un changement irréversible pendant des centaines, voire des milliers d’années, indique le rapport de l’ONU, qui est aussi impliqué dans la lutte pour le climat.
Le rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations Unies a été préparé par 200 scientifiques de 60 pays et il joue un rôle clé dans les mesures environnementales à mettre en œuvre. Vous devez aussi savoir que le GIEC est quelque chose qui est central comme l’indique lequotidienglobal.fr dans sa partie dédiée aux mesures environnementales.
